Toujours est il que je ne sais pas ce qui m'a pris de monter dans un grand huit, après tout ce n'est pas trop dans mes habitudes ce genre d'endroit où à défaut d'y laisser sa vie, on risque à tout moment d'y laisser son déjeuner. Finalement ça m'a bien plu, l'avantage du grand huit étant que même si ça secoue on ne se retrouve pas pendant une minute la tête en bas à risquer la mort cérébrale comme dans certains manèges.
Pour me remettre de tout ça, je suis donc allé avec mes amis dans une ces tentes où l'on boit de la bière tiède pour oublier qu'on écoute de la musique populaire joué par un improbable groupe folklorique autrichien, à moins que ce ne soit l'inverse. Malgré tous les efforts des musiciens autrichiens, j'ai passé une très bonne soirée ! C'est là que l'on comprend tout le sens du dicton qui veut que la réussite d'une fête dépend avant tout des personnes avec qui on la partage...