En partant tôt de Takayama à sept heures du matin il est possible d'être un peu après dix heures en haut du téléphérique (il faut faire la queue, il y a du monde comme partout au Japon...) et de faire une randonnée de cinq heures aller-retour jusqu'au premier sommet, Nishihotakadake-Doppyō (西穂高岳独標). Ce sommet ne nécessite pas d'entraînement particulier pour un bon marcheur ni d'équipement d'alpinisme. Les sommets suivants nécessitent de passer la nuit dans un refuge ou de camper, par exemple au Nishiho-Sansō (西穂山荘) et il vaut mieux être entraîné et équipé car il s'agit plus d'escalade que de randonnée ; en particulier en hiver crampons et piolet son nécessaires.
Comme les sommets ne sont pas très élevés la vue est souvent bloquée par les nuages, surtout en été qui est très humide au Japon. J'ai quand même eu de la chance et le ciel s'est un peu dégagé durant la descente, m'offrant quelques opportunités de photos.